Quand les Américains ont libéré la Moselle, certains jeunes gens évadés de l’Armée allemande doivent se présenter à eux. PJHOTO RL Joseph François Gross de Rohrbach-lès-Bitche en faisait partie. Il nous relate leur humiliation dans le livre « Les Fléchards, Malgré-Nous et évadés » grâce à de nombreux témoignages. Beaucoup de Malgré-Nous mosellans, de retour du Front russe se sont cachés lors d’une permission. Ils ont eu la mauvaise surprise de devenir prisonniers des Américains entre le 1er et le 17 décembre 1944. Ils sortent du camp de la Flèche le 15 mai et ne seront libérés que le 25 mai 1945. Prisoner of War «Le gradé américain leur disait. : " Si vous avez accepté d’être incorporé, vous n’aviez pas le droit de déserter! » Il était inutile de lui expliquer ce qui serait arrivé à nos parents si nous n’avions pas rejoint la caserne allemande. Pour l’Américain: un soldat ne déserte pas. L’ordre donné aux G.I. était: « Prisoner of War»(Prisonnier de guerre), car
Piotr Muszyński de Pologne a découvert lors de ses recherches généalogiques qu’il avait des ascendants lorrains. Grâce à Joseph Sprunck, il a retrouvé René Henius , originaire de Volmunster, mais domicilié à Reyersviller. Krzysztof Muszyński, étudiant, le Louvre en arrière plan Lucyna, Marta, Krzysztof et Piotr Muszyński, en famille en visite à Paris. Pourquoi des Bitcherlandais ont-ils émigré en Pologne ? La Pologne Il explique cette émigration à l'exemple de sa famille. Jusqu’à récemment, la connaissance de mes ancêtres remontait à 1900 et se limitait à des informations rudimentaires. Depuis un an, je me suis lancé dans une grande aventure de découverte de mes propres racines familiales. Mon nom de famille Muszyński est relativement populaire en Pologne. En 2024, plus de 15 000 personnes y portent ce nom. Il est facile d'imaginer que la base de données à examiner est énorme... et qu'il faut beaucoup de temps pour la comprendre et la constituer. Cependan