La population du Pays de Bitche a été décimée par la guerre de Trente ans et la peste. C'est ainsi qu'après 1635, le Bitcherland est devenu un vaste désert abandonné. Voici ce qu'a écrit le biographe du duc de Lorraine Charles IV
"Les terres demeurèrent sans culture et les campagnes sans habitants, les glands et les racines devinrent la nourriture ordinaire, et à son défaut, l'on vit des pères de famille réduits à la nécessité de mourir ou qui ne pouvant vivre que par la mort de leurs enfants, prirent la résolution de les manger" (P. Hugo, Vie manuscrite de Charles IV)
Ce n’est qu’en 1661 que de rares survivants ayant vécu dans les nombreux ravins, forêts et grottes du Bitcherland ou au milieu des ruines ont surgi. Peu à peu, les villages ont commencé à se repeupler. Tout s’est accentué grâce au fameux arrêté du conseil d’état du 8 avril 1686, dû à la prévoyance de La Goupillère, intendant de la province de la Sarre (La région de Sarreguemines et de Bitche en faisaient partie de la Sarre à cette époque.) Il complète celui du duc Charles IV entre 1660 et 1670.
Emigration vers le Banat
Au 18 ème siècle beaucoup de Lorrains, pauvres et devant supporter l’augmentation des charges , sous le règne de Stanislas Lesczynski (1737-1666) ont émigré vers le Banat. Le Banat a fait alors partie de l’Empire des Habsbourg et la région, libérée de l’occupation musulmane turque après le traité de Passarowitz. Les paysans capables de remettre en valeur ce territoire vaste comme la Belgique manquaient,
L’immigration a été encouragée par les souverains de l’Empire. Cette émigration a duré de 1764 à 1785.
Elle était possible, car les familles sont plus nombreuses. En effet, les sages-femmes commencent à être formées, ainsi il y a moins de bébés qui meurent et pas assez de terres pour les enfants qui créent de nouvelles familles.
Le Banat
Faisant partie aujourd’hui de la Roumanie, la Serbie et la Hongrie, le Banat est l’une des régions d’Europe où la diversité ethnique est la plus importante. Des dizaines de milliers de paysans catholiques issus de tous les villages lorrains ont quitté leur pays, car la pauvreté et le poids des charges fiscales sous le règne du duc de Lorraine Stanislas. De plus, il n’y avait pas assez de terres libres pour pouvoir vivre de la culture et de l’élevage. Tout cela a incité les Lorrains de chercher une situation plus aisée. Le Banat est alors devenu un véritable Babel rural, des marchands grecs, arméniens et juifs se sont installés également dans les bourgs et les villes. Certains des descendants sont rentrés en France en 1950 grâce à l’aide de Robert Schuman.
L’émigration sous la Révolution
L’émigration suivante a également été importante durant la Révolution. Elle débute après la prise de la Bastille le 14 juillet 1789. Ce sont surtout les prêtres et les nobles qui vont en Allemagne. Certains sont revenus sous l’empire de Napoléon Bonaparte.
L’émigration au XIXe siècle
En raison de l’industrialisation et des grands bouleversements politiques et sociaux, l’Europe devient une terre d’émigration. Les populations européennes cherchent à partir vers d’autres terres, principalement sur le continent américain.
Partir en Amérique
Ce sera surtout durant l’annexion de 1871 à 1918 que certains ont opté pour la France, mais au moins 10 000 sont partis en Amérique. Alors que les premiers y ont débarqué dès 1720, l’émigration après 1871 était surtout très forte dans l’est de la Moselle, dont le Bitcherland. Les causes principales, c’est l'augmentation des enfants enfants. C'est à cette époque que la natalité commence à être positive. Les autres raisons sont les guerres, le manque de terres, les persécutions religieuses le refus de porter l’uniforme militaire allemand, les épidémies, mais aussi l’aventure.
Ces départs ont été facilités par les agents de compagnies de navigation installés à Bitche, Forbach, Phalsbourg et Metz et Saint-Jean-de-Kourtzerode.
Une longue traversée
Au 19ème siècle, la traversée dure environ 60 jours à l’aller et au retour 40 à 90 jours en fonction du vent et du temps. Les migrants voyageaient d'abord à pied ou en chariot pour rejoindre le port le plus proche où ils cherchaient à trouver un bateau à voile qui les emmène en Amérique. Le voyage prenait de 40 à 90 jours, en fonction du vent et du temps. Dans l'entrepont, les passagers avaient très peu de nourriture. À partir des années 1860, ils partaient en train jusqu'au port, puis en bateau à vapeur. La traversée durait alors de 7 à 10 jours.
La cause d’émigration continue à être liée à la forte poussée démographique et à la pauvreté des populations lorraines : l’industrialisation progressive et surtout le manque de terres suite aux partages. De surcroit, les rendements faibles des terres poussent les Mosellans à rechercher ailleurs un meilleur niveau de vie dans un autre pays. De plus, certains jeunes gens partent aussi pour échapper au service militaire qui dure 7 ans, alors que l’Armée en guerre est ravagée par les épidémies.
Le Nouveau Monde en Amérique, devient progressivement la terre d’accueil privilégiée des Mosellans. La défaite de la France en 1871 et le rattachement de la Moselle à l’Empire prussien par le Traité de Francfort provoquent des départs par patriotisme. Certains partent s’installer en Meurthe et Moselle d’autres choisissent l’exil hors d’Europe, toujours vers les Etats-Unis.
Des agents facilitent l’émigration en Amérique
L’émigration aux Etats-Unis pendant le XIXe siècle est marquée par plusieurs vagues. Ils partent de toute la Moselle, mais particulièrement du Bitcherland, où les terres sont insuffisantes pour la population. L’effet de contagion est d’autant plus important que des représentants officiels des Etats ou des agences de recruteurs privés négocient avec les compagnies de chemins de fer. Les agents proposent souvent des voyages payés au départ et entièrement organisés jusqu’au Havre. Les convois sont ensuite pris en charge par un armateur pour traverser l’Atlantique.
Le port de New-York accueille les émigrants
Les émigrants entrent généralement aux Etats-Unis par le port de New-York, plus rarement par la Nouvelle-Orléans, puis se dispersent à l’ouest vers l’intérieur des terres. Les Etats-Unis sont attractifs, car de nombreux avantages sont proposés aux populations arrivantes pour l’acquisition de terres . De plus, l’accueil y est facilité par la proximité culturelle avec des communautés issues d’une immigration antérieure et déjà bien implantées.
14 Andrès d'Ormersviller émigrent en Amérique
Roger Andrès, domicilié à Mississauga (Canada), petit cousin de Joseph Antoine Sprunck décrit très bien les 14 différents frères, cousins et petits cousins Andrès qui ont quitté Ormersviller pour l'Amérique.
Quatre frères d'Ormersviller émigrent en Amérique
Quatre frères de Monique Meyer, née Andrès, grand-mère de Joseph Antoine Sprunck ont émigré en Amérique. Elle était le septième enfant de la famille Jean Andrès et de Anne Paltz, parents de 14 enfants. Ils seront suivis par 10 autres cousins Andrès.
Roger Andrès vivant au Canada nous a décrit les différentes familles Andrès originaires d’Ormersviller partis en Amérique
Les quatre frères de la grand-mère de Joseph Antoine Sprunck
Pierre Damien Andrès (fils de Jean Andrès, dit l’aîné (1863-1946) né le 20 février 1860 à Ormersviller et de Anne Paltz ,née le 23 août 1873 à Neuspath (Allemagne) Ils ont eu 9 enfants
Pierre Damien était le frère de la grand-mère maternelle Marie Gertrude (Monique) Andrès
Frère de mon grand-père paternel Mathias
Il émigre aux États-Unis en 1886. S'installe d'abord à Stevens Point (Wiskonsin) puis à Rudolph (WI) vers 1902. Il s'installe finalement dans le Michigan, dans la région de Beal.
Joseph Andrès (fils de Jean Andrès dit l’aîné (1818-1893 - Ormersviller) et de Anne Paltz
Né le 1er octobre 1881 à Ormersviller
Arrivé à New York, (Ellis Island) le 30 Mars 1904 sur le S.S. Finland en provenance d’Antwerp
Il épouse Augusta Martin en 1910 et déménage à Milwaukee où il travaille comme maçon et briqueteur, en particulier lors de la construction de l’école secondaire Washington.
En 1913, avec son épouse, il achète une ferme dans le comté de Nottawa, à 5 km de Beal City, au Michigan et va s’y établir en 1916. Il agrandi sa ferme de 20 acres supplémentaires, qu’il achète à ses voisins James et Liza Peters, des Indiens de la tribu Chipewa avec lesquels il est en bon voisinage. Peu de temps après, il ajoute 40 acres à sa ferme.
La ferme passe de génération en génération et est encore exploitée ces jours par ses petits-enfants Richard (et Barbara) et Joseph (et Eliane)
Avec son épouse Augusta Martin (son épouse)née le 25 novembre 1886 et décédée le 28 décembre 1975 à Mount Pleasant (Michigan) il a eu 6 enfants
Jean Nicolas Andrès (fils de Jean Andrès dit l’aîné (1818-1893 - Ormersviller) et de Anne Paltz
Né le 16 février 1876 à Ormersviller
Marié à Marienthal en Alsace, le 15 novembre 1904 avec Anne Meyer
Arrivé à New York, (Ellis Island) avec Anne, le 8 décembre 1904 sur le S.S. Finland en provenance d’Antwerp Ils sont identifiés comme allemands.
Sur un manifeste maritime il déclare aller rejoindre son frère Pierre (Peter Damien) à Stevens Point (Wisconsin) Décédé le 6 décembre 1959 à Wisconsin Rapids (Wisconsin – USA)
Anne Meyer (son épouse)
Née le 1er mars 1882
Décédée le 17 juin 1962 à Wisconsin Rapids Wisconsin – USA. Il a eu 6 enfants
Jean Raymond Andrès (fils de Jean Andrès, dit l’aîné (1863-1946) et de Anne Paltz) Né le 1er octobre 1881 à Ormersviller
Épouse Marie Paltz
Frère de la grand-mère maternelle Marie Gertrude (Monique) Andrès de l'auteur.
Frère de mon grand-père paternel Mathias, né le 9 avril 1874 . Il a épousé Marie Catherine le 2 février 1903 à Ormersviller Arrivée aux Etats-Unis : date inconnue.
Marie Paltz (son épouse)
Née le 6 février 1878 Décédée le 12 août 1969
3 enfants
Dix autres cousins les suivent
Jean Andrès (fils de Conrad Andrès (1798-1862 – Ormersviller) et de Odile Drunschberger Né le 20 août 1825 à Ormersviller. Confirmation à Volmunster le 2 septembre 1843
Sert dans l’armée française en Algérie avant d’émigrer aux Etats-Unis en 1854
S’établit dans le nord-ouest de l’état du Wisconsin
Marié à Marie Joséphine Routhieaux le 14 novembre 1856 à Green Bay, comté de Brown, Wisconsin
Durant la guerre civile américaine (1861-1865) il est conscrit dans l’armée où on lui confère le grade de sergent, sans doute à cause de son passé militaire en Algérie. Il déserte l’armée.
Il est connu sous le nom de John André (et non John Andrès)
Il achète une ferme de 50 acres à son beau-frère belge, pour 50 dollars. Il perdra sa ferme et ses possessions lors d’un incendie connu sous le nom de Feu de Peshtigo qui cause la mort de 1200 personnes.
Décédé 18 septembre 1912 Rosiere (Wisconsin) suite à une pneumonie.
Marie Joséphine Routhieaux (son épouse) Née le 12 juillet 1838 à Linsmau (Belgique) Décédée le 17 mars 1904 à Rosiere (Wisconsin)
10 enfants
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Jean Henri Andrès (fils de Conrad Andrès, dit Le Jeune (1759-1825) et de Barbe Marie Meyer
Né le 14 septembre 1808 à Ormersviller
Décédé le 6 septembre 1881 à Keene, comté de Ionia, Michigan
Marié à Katherine Faber le 19 janvier 1836 à Riesweiler (Allemagne). Elle décède en mai 1853.
Fait notable : Jean Henri s’est marié civilement et à l’église d’Ormersviller le 11 janvier 1836 puis à l’église également, de l’autre côté de la frontière, à Riesweiler, le 19 janvier 1936 .
6 enfants naissent de leur union (tous restent à Ormersviller ou Riesweiler, sauf Anna Maria.
Marié en secondes noces avec Anna Maria Biermacher le 6 février 1854 à Riesweiler (Allemagne)
2 enfants naissent de cette union. (Heinrich II et Peter)
Anna Maria, Peter, Heinrich II émigrent aux USA avec Jean Henri et Anna Maria (biermacher) le 12 août 1864 Jean Henri et son épouse Anna Maria arrivent à New-York sur le vaisseau William Frothingham en provenance du Havre, le 12 août 1864. Il est alors âgé de 55 ans. Le couple est accompagné de 3 enfants, Anna Maria, âgée de 18 ans et la plus jeune des enfants du premier mariage et de Heinrich (Henri) et Peter (Pierre), enfant du second mariage.
Jean Henri se déclare Bavarois de nationalité (Riesweiler faisait alors partie de l’empire bavarois)
Selon une petite fille de Jean Henri, La famille a rejoint Chicago en train depuis New-York. À Chicago, par accident, Mary n’était pas sur le train en partance pour Kalamazoo, (Michigan), leur destination. Elle a pris le train suivant. Son père, descendit du train à la recherche de Mary, et reste sur le quai alors que le train part. Jean Henri, incapable de communiquer mettra deux semaines à errer dans la région de Niles, à une quarantaine de kilomètres de Chicago, mais dans la direction opposée de Kalamazoo. Finalement, il arrivera à rejoindre Kalamazoo où il retrouve sa famille qui avait trouvé refuge chez des amis, les Scheid. Finalement, la famille s’établira à six kilomètres au sud de Belding, sur la route qui sera nommée rue Andres.
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Pierre Andrès (fils de Conrad Andrès (1798-1862 – Ormersviller) et de Odile Drunschberger Né le 14 février 1830 à Ormersviller
Sert dans l’armée française en Algérie avant d’émigrer aux Etats-Unis en 1867
Vit avec son frère Jean et son épouse Marie Joséphine sur leur ferme.
Ne s’est jamais marié.
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Thibaut Andrès fils de Jean Andrès et de Anne Marie Bittel Né le 15 avril 1844 en France
Immigre aux États-Unis en 1871
Épouse Anna Maria Andres, (fille de Jean Henri Andres et Katherine Faber – voir plus haut)
Soldat dans la cavalerie de l’armée française durant la guerre franco-prusse de 1870, il est fait prisonnier la veille de la bataille de Sedan. Capturé par l’ennemi après que plus que 60 de ses camarades sont tués dans une bataille féroce, il est emprisonné par les prussiens. Il sera libéré 3 mois après. Il décide de quitter la France pour les États-Unis. Sa Lorraine natale est sous la domination allemande.
Il s’installe dans la commune de Miriam au Michigan et épouse la fille de Jean Henri Andrès arrivé aux Etats- Unis 7 ans auparavant. Il achètera la ferme de son beau-père.
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Gaspard (Casper) Andrès (fils de Vincent Andrès (1797-1872 – Ormersviller) et de Anne-Marie Andrès Né le 3 janvier 1835 à Ormersviller
Décédé le 2 septembre 1907 à Grand Haven (Michigan)
Marié à Christine Faber, née en 1835
Émigre aux États-Unis le 1er avril 1874 avec son épouse Christine Faber et leurs 5 enfants survivants (Catherine, Anne, Anne-Marie, Jean-Pierre, Pierre.
Le motif déclaré est la guerre perpétuelle entre l’Allemagne et la France pour la possession de l’Alsace et la Lorraine. Après six semaines de voyage maritime durant lequel le mat de son navire est brisé lors d’une tempête, il arrive finalement à New-York. Il va rejoindre son oncle Jean Henry Andrès (frère de son père Vincent qui est arrivé en Amérique en 1864)
Le couple achète une ferme de 60 acres à Belding (Michigan). Agé de 78 ans, il meurt noyé à Grand Haven (Michigan) dans la rivière Grand River, alors qu’il était en route vers Milwaukee dans le Wisconsin, (de l’autre côté du lac Michigan) où il allait visiter des cousins. On suppose qu’il est tombé dans la rivière alors qu’il se promenait sur les quais, à l’embouchure de la rivière dans le lac Michigan.
Christine Faber (son épouse)
Née le 3 août 1835 à Riesweiler (Allemagne)
10 enfants, dont 5 survivants
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Pierre Damien Andrès (fils de Jean Andrès, dit l’aîné (1863-1946) et de Anne Paltz) Né le 20 février 1860 à Ormersviller
Frère de ta grand-mère maternelle Marie Gertrude (Monique) Andrès
Frère de mon grand-père paternel Mathias
Émigre aux États-Unis en 1886. S'installe d'abord à Stevens Point (WI) puis à Rudolph (WI) vers 1902. Il s'installe finalement dans le Michigan, dans la région de Beal.
Anne Paltz (son épouse)
Née le 23 août 1873 à. Neuspath (Allemagne)
9 enfants
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Joseph Andrès (fils de Jean Andrès dit l’aîné (1818-1893 - Ormersviller) et de Anne Paltz
Né le 1er octobre 1881 à Ormersviller
Arrivé à New York, (Ellis Island) le 30 Mars 1904 sur le S.S. Finland en provenance d’Antwerp
Il épouse Augusta Martin en 1910 et déménage à Milwaukee où il travaille comme maçon et briqueteur, en particulier lors de la construction de l’école secondaire Washington.
En 1913, avec son épouse, il achète une ferme dans le comté de Nottawa, à 5 km de Beal City, au Michigan et va s’y établir en 1916. Il agrandi sa ferme de 20 acres supplémentaires, qu’il achète à ses voisins James et Liza Peters, des indiens de la tribu Chipewa avec lesquels il est en bon voisinage. Peu de temps après, il ajoute 40 acres à sa ferme.
La ferme passe de génération en génération et est encore exploitée ces jours par ses petits-enfants Richard (et Barbara) et Joseph (et Elaine)
Augusta Martin (son épouse)
Née le 25 novembre 1886
décédée le 28 décembre 1975 à Mount Pleasant (Michigan)
6 enfants
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Jean Nicolas Andrès (fils de Jean Andrès dit l’aîné (1818-1893 - Ormersviller) et de Anne Paltz
Né le 16 février 1876 à Ormersviller
Marié à Marienthal en Alsace, le 15 novembre 1904 avec Anne Meyer
Arrivé à New York, (Ellis Island) avec Anne, le 8 décembre 1904 sur le S.S. Finland en provenance d’Antwerp Ils sont identifiés comme allemands.
Sur un manifeste maritime il déclare aller rejoindre son frère Pierre (Peter Damien) à Stevens Point (Wisconsin) Décédé le 6 décembre 1959 à Wisconsin Rapids (Wisconsin – USA)
Anne Meyer (son épouse)
Née le 1er mars 1882
Décédée le 17 juin 1962 à Wisconsin Rapids Wisconsin – USA
6 enfants
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Jean Raymond Andrès (fils de Jean Andrès, dit l’aîné (1863-1946) et de Anne Paltz) Né le 1er octobre 1881 à Ormersviller
Épouse Marie Paltz
Frère de ta grand-mère maternelle Marie Gertrude (Monique) Andrès
Frère de mon grand-père paternel Mathias Arrivée aux Etats-Unis : date inconnue.
Marie Paltz (son épouse)
Née le 6 février 1878, décédée le 12 août 1969
3 enfants
Sources:
"Viva América par Marie-José Marchal
- L'arrondissement de Sarreguemines de Joseph Rohr
- Wikipedia
- Robert Andrès, l'arrière petit-cousin de l'auteur